Après la brève interpellation samedi du vice-Premier ministre en charge de la Justice, le Premier ministre a exprimé sa vive indignation tout comme son camp politique, le Front commun pour le Congo (FCC).
Ce dimanche, tous les caciques de cette coalition, y compris les présidents des deux chambres du Parlement, se sont réunis pour décider du sort de la coalition avec le président Félix Tshisekedi.
“Nous condamnons encore fermement cette arrestation pratiquement arbitraire, et même sauvage, du vice-Premier ministre et ministre de la Justice. Cela ne s’est jamais fait nulle part. Finalement, on sent qu’il y a toute une démarche pour désacraliser les institutions, les pouvoirs régaliens qui sont détenus par nos membres du FCC, des membres du gouvernement qui assurent des ministères régaliens.”
rfi