
Depuis Londres où il porte haut les valeurs universelles du mois de Ramadan, Mesut Özil, la star du football turc, prouve une fois encore qu’il n’a pas seulement de l’or au bout de ses crampons… Il a aussi un cœur d’or, que l’avènement du mois béni fait battre encore plus fort qu’à l’accoutumée.
Le milieu de terrain d’Arsenal mesure mieux que quiconque le mérite exceptionnel du don effectué lors du mois sacré entre tous, ayant fait siennes depuis longtemps les paroles du Prophète Muhammad (saws) : « La meilleure des charités est celle accomplie pendant le Ramadan ».
Des paroles qui prennent une résonance particulière, alors même que d’un côté comme de l’autre du Bosphore, un virus insaisissable jette une ombre sur la célébration du mois de la Révélation du Coran, sur un jeûne unique favorisant l’élévation spirituelle et les élans de solidarité.
Face à cet ennemi invisible qui ignore les frontières et les trêves les plus sacrées, l’âme généreuse, charitable et compatissante de Mesut Özil envers ses compatriotes ne pouvait que vibrer fortement en lui, le poussant à remettre la coquette somme de 90 000 euros au Croissant-Rouge turc.