Interrogé sur le déroulement de la marche qui a finalement été arrêtée par les forces de l’ordre à coups de gaz lacrymogènes, le leader du parti Rewmi s’est dit animé “par un sentiment de dégoût vis-à-vis du comportement du régime qui instaure une véritable dictature.”
Idrissa Seck, puisque c’est de lui qu’il s’agit, a poursuivi en déclarant que : “Cette marche pour la gestion transparente de nos ressources naturelles avait été autorisée avant que les forces de l’ordre nous attaquent et de lancer des grenades lacrymogènes à des manifestants pacifiques. Ça s’appelle de la dictature et pas autrement. On va se retrouver très prochainement pour évaluer la situation et savoir quelle mesure prendre par rapport à ce qui se passe!”
Dakaractu