La tension reste vive dans la capitale tchadienne, N’Djamena. Ce mardi, dès les premières heures de la matinée, de grands bruits se font entendre des quartiers d’Atrone, Gassi, Ambatta, Walia, Amtoukoui etc. Un quart d’heure après, les gaz lacrymogènes polluent l’air qui devient irrespirable pour la population. « À l’heure actuelle, il est difficile de respirer même dans les chambres. D’autres policiers ont commencé à tirer à balles réelles sur les manifestants », a-t-on appris de témoin sur place.
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