La 143e Assemblée de l’Union interparlementaire (UIP) est organisées par l’Union en coordination avec le Parlement espagnol, cette année, du 26 au 30 novembre, dans la capitale espagnole.
Une délégation de l’assemblée Nationale sénégalaise composée de 5 députés (Amady Gadiaga, Adji Mbergane Kanouté, Fanta Sall, Yoro Sow groupe parlementaire Benoo Bokk Yakaar et Mor Kane groupe parlementaire liberté et démocratie) y ont fait fart. Plusieurs thèmes ont été abordés lors des sessions. Et celui qui a attiré les attentions est celui qui parle des violences dont les femmes parlementaires sont victimes.
“80% des femmes parlementaires interrogées pour cette étude ont subi des violences psychologiques au cours de leur mandat, 67% ont fait l’objet de comportements ou de remarques sexistes, 42% ont été menacées de mort, de viol, de coups ou d’enlèvement. 40% ont été harcelées sexuellement et 27% ont subi des violences physiques. Les participantes ont déclaré que la majorité des ces violences sont permetrées par leurs collègues parlementaires de sexe masculin, notamment ceux de parti rivaux mais également ceux de leur propre parti politique. De plus, 42% subissent des attaques sexistes sont attribuées à des membres de la population ou à des anonymes et 30% des cas d’intimidation en periode électorale. Les femmes parlementaires souffrant d’un hadicap, les femmes non mariées, les femmes âgées de moins de 40 ans et celles issues de groupes minoritaires font face à d’avantage de violence. C’est également le cas pour celles qui appartiennent à l’opposition politique de leur pays et celles qui prennent position”, a indiqué Adji Mbergane kanouté qui a fait un discours sur les violences subies par les femmes parlementaires.
La session de cette année a été inaugurée par le roi d’Espagne, Felipe VI.
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